DB Multiverse
Dragon Ball Multiverse, le roman
Écriture par Loïc Solaris & Arctika
Adaptation par Loïc Solaris & Salagir
Relecture par Koragg
Avec bien plus de détails, redécouvrez l'histoire de DBM. Cette novélisation est vérifiée par Salagir, elle contient également des ajouts de son cru, qui n'étaient pas racontables en manga, c'est donc un véritable annexe à la BD !
Ce manga est en pause. La suite arrivera bientôt...
Intro
Partie 0 :0Partie 1 :12345
Round 1-1
Partie 2 :678910Partie 3 :1112131415
Partie 4 :1617181920
Partie 5 :2122232425
Partie 6 :2627282930
Lunch
Partie 7 :3132333435Round 1-2
Partie 8 :3637383940Partie 9 :4142434445
Partie 10 :4647484950
Partie 11 :5152535455
Partie 12 :5657585960
Partie 13 :6162636465
Partie 14 :6667686970
Night 1
Partie 15 :7172737475Partie 16 :7677787980
Partie 17 :8182838485
Partie 18 :8687888990
Round 2-1
Partie 19 :9192939495Partie 20 :96979899100
Round 2-2
Partie 21 :101102103104105Partie 22 :106107108109110
Partie 23 :111112113114115
Night 2
Partie 24 :116117118119120Round 3
Partie 25 :121122123124125Partie 26 :126127128129130
Partie 27 :131132133134135
Partie 28 :136137138139140
Partie 29 :141142143144145
Partie 30 :146147148149150
Partie 31 :151152153154155
Partie 32 :156157158159160
Partie 33 :161162163164165
Chapitre 117
Dans l’appartement du groupe des quatre Saiyans, l’ambiance n’était pas au rendez-vous, loin de là. En effet, Nappa et Raditz n’osaient rien dire . Devant eux, adossé au mur, leur chef s’était enfermé dans un silence glacial tout en demeurant bras croisés. Pour sa part, Kakarotto était parti dormir en clamant haut et fort qu’il vaincrait l’alter-ego de ce « raté de Vegeta » afin de le ridiculiser d’autant plus. Depuis lors, des veines étaient apparues sur le front de l’empereur, et la tension émanant de lui ne retombait pas. Raditz se risqua à dire quelque chose :
– Hum…, dit-il d’une voix hésitante, que fait-on maintenant, Vegeta ? Il ne reste que mon frère dans la course maintenant. Et vu le niveau du tournoi, je ne pense pas qu’il tiendra. Est-ce qu’on doit partir ?
– Cet idiot ne vaincra jamais leur Vegeta, ajouta Nappa. Il doit être tout aussi fort que toi. Si tu as atteint le niveau au-dessus, aucun doute que le leur aussi.
– On reste jusqu’au bout, les interrompit le fier Saiyan d’une voix tranchante. On va assister à la raclée de cet imbécile par mon double, et on observera la suite du tournoi. Qui sait, les Saiyans des autres univers peuvent encore nous montrer des choses intéressantes. C’est en les observant que j’ai pu comprendre l’évolution du Super Saiyan et à le transcender. Il est possible que l’on puisse encore en apprendre.
Nappa acquiesça, pendant que Raditz restait de marbre, plongé en pleine réflexion. Il doutait fortement de Vegeta, depuis qu’il l’avait vu affronter Raichi au tour précédent. Il avait vu son peuple réapparaître devant lui, et n’avait nullement hésité à l’abattre, sachant pertinemment qu’il ne s’agissait que de fantômes. Ce qui dérangeait le frère de Kakarotto étaient les intentions de leur chef, dont il avait vu la folie vicieuse l’envahir alors qu’il les massacrait tous les trois avec une étincelle de plaisir et de sadisme dans ses yeux. Raditz connaissait bien le caractère de leur dirigeant: il savait qu’il n’hésiterait pas à les détruire sans sourciller. Il les gardait auprès de lui uniquement parce qu’ils pouvaient se révéler utiles dans la gestion de leur univers : administrer une zone spécifique, conquérir des planètes encore inexplorées ou encore réprimer des rébellions dirigées contre eux.
Cependant, Vegeta avait atteint un niveau encore supérieur, il était probable qu’il se débarrasse d’eux, au vu de sa nouvelle puissance. Ses craintes étaient vraiment fondées. Observant Vegeta déblatérer ses idées, Raditz en eut une également : convaincre le vieux Kaiôshin dont avait parlé son neveu alternatif de l’univers 18 de lui transmettre ses pouvoirs. Ce même neveu alternatif qui n’avait eu aucun mal à le maîtriser ainsi que Nappa et Kakarotto. Le fils de Baddack n’avait jamais eu cette tendance à la conquête et au carnage à grande échelle, il voulait juste vivre dans son coin, avoir une vie « tranquille », emplie de bons combats et de nourriture qu’il partagerait avec son frère, la seule personne au monde qui lui ait porté un respect véritable. S’il pouvait éliminer Vegeta et Nappa, leur univers, les autres ne s’en porteraient que mieux… Et il obtiendrait ce qu’il avait toujours désiré. Sa décision était prise : que Kakarotto perde ou remporte son combat, il irait voir le vieux Kaiôshin sous prétexte de négocier à nouveau, pour ne garder les pouvoirs que pour lui. Il se devait d’avoir un moyen de pression sur son cadet qui était totalement incontrôlable sans personne au-dessus de lui.
Pour les occupants originaires de l’univers 11, l’inquiétude semblait n’être qu’un mot vague et lointain. En effet, Babidi encourageait son champion et lui promettait des montagnes de sucreries pour chaque victoire future. Dans sa grande naïveté, Majin Buu applaudissait à chaque fois qu’il entendait ce genre de promesses. Quant à Dabra, il soupirait dans son coin. Il ne supportait plus d’assister à ces navrantes comédies qui ne valaient pas le dixième des spectacles auxquels il avait droit dans son monde d’origine, la dimension des Démons. Ah, que ne donnerait-il pour retourner ne serait-ce qu’une journée dans cet univers aux charmes si magiques, composé de cascades de ténèbres, de succubes dansantes et de météores enflammés sillonnant le ciel, avec la permission de son maître ! Il se souvenait de ces bains de sang dans lesquels il plongeait chaque soir, sa cour l’acclamant et se prosternant à son passage. Il revoyait nettement les joutes auxquels se livraient ses guerriers afin de gagner en prestige et lui plaire…
Dabra se leva soudainement, et dit à Babidi:
– Maître, permettez que je m’absente quelques instants, je vais parcourir l’espace environnant de cet astéroïde pour… me changer les idées.
– Vas-y, vas-y, lui répondit distraitement son maître trop occupé à motiver Buu pour son combat. Ce n’est pas comme si tu me servais encore à quelque chose vu ta faiblesse… Disparaît donc de ma vue pour l’instant !
Le Roi des Démons s’inclina, crispé, puis quitta l’appartement, s’envolant dans l’espace sous le regard moqueur de Cell, qui profitait de cette distraction momentanée pour se souvenir de leur combat si amusant. Assez loin pour que l’arène ne soit plus qu’un point insignifiant dans son champ de vision, Dabra serra les poings et libéra une vague d’énergie sur l’une de ces planètes factices, la faisant disparaître sans laisser une seule trace. La question que le Kaiôshin du Sud lui avait posé lui revenait en tête :
“– Dabra, ne disais-tu pas que tu ne sortirais jamais du royaume des Démons ?
– Mon bien-aimé royaume n’est rien comparé à mon maître Babidi.”, avait-il répondu.
Ce qu’il avait dit était sincère : quand le sorcier était venu dans son monde, il n’avait pour lui aucune considération, du moins au début. Puis, étrangement, il avait décidé de se mettre au service de cet être aux grands pouvoirs afin de voir l’avènement d’un monde de terreur semblable au sien, dans ce monde insignifiant de mortels qu’il n’avait cessé de mépriser pendant des millénaires. Une soif de conquête et de combats était née en lui, et il ferait tout pour que les projets de son maître Babidi s’accomplissent. Mais quelle ne fut pas sa déception quand il vit cette masse juvénile de sucreries sortir du mythique cocon abritant le monstre le plus destructeur que l’univers ait jamais connu ! Bien qu’il ait dû reconnaître la formidable puissance de cette absurde entité, il continuait de croire que le Majin n’était qu’une source de problèmes, et que cela se retournerait contre eux. Si les choses tournaient mal pendant ce tournoi, il prendrait les choses en main et ferait ce qu’il faut pour retrouver un semblant de valeur aux yeux de Babidi, et avait une idée d’avance à lui soumettre, en cas de défaite de Buu.
Détruisant encore sur son passage quelques sphères gazeuses pendant les heures qui suivirent, il poussa un soupir et se décida à rentrer discrètement à l’arène en dissimulant son énergie. Une personne apparut soudainement devant lui, le faisant tressaillir. Il reconnut la silhouette imposante du Kaiôshin du Sud, auquel il avait pensé quelques instants plus tôt. Ce dernier lui dit d’une voix mécontente :
– Je souhaiterais que tu cesses de tout détruire de la sorte, Dabra ! Créer ces planètes superficielles exige beaucoup de ressources pour les Vargas qui n’ont pas que ça à faire !
– Tu t’attends peut-être à des excuses ? railla le Roi des démons. Je ne vais à l’encontre d’aucune règle me semble-t-il, rien ne m’interdit de pulvériser ces planètes si l’envie m’en prend !
– Dans ce cas, rétorqua le Kaiôshin d’une voix calme mais sévère, tu expliqueras à ton maître pour quelle raison son participant s’est fait exclure de la compétition, et pourquoi il a été renvoyé dans son univers.
La menace était suffisamment lourde de sens pour que Dabra, pris de frayeur à l’idée de ce que Babidi lui réserverait si cela arrivait, parvienne à maîtriser sa frustration.
– Très bien, se résigna-t-il à dire, je m’incline. Si cela ne te dérange point, j’aimerai m’en retourner vers l’appartement de mon maître.
– Tiens, attends, je t’accompagne, répondit le Kaiôshin. Moi et Vegetto de l’univers 16 sommes en train de nous livrer à un jeu amusant !
– Quel est-il ? demanda Dabra, lui répondant dans l’espoir de s’en débarrasser aussi vite que possible.
– Les hommes des Démons du Froid de l’univers 8 cherchent les Dragon Balls dans l’arène sous les ordres de leurs maîtres, et nous nous téléportons très rapidement devant eux afin de les effrayer et les dissuader de continuer leurs recherches. J’en ai vu un sursauter de telle manière qu’en voulant se sauver, il a trébuché et s’est retrouvé inconscient, se cognant la tête sur le sol ! Il m’a fallu le ramener devant leur vaisseau, ils s’en occuperont. Pour résumer, on sert un peu de patrouille de nuit. Ça ne t’intéresserait pas ? Ça t’apporterait un peu de distraction !
– Sans façon, grogna Dabra alors que le Kaiôshin était pris d’un éclat de rire. Je préfère rester auprès de mon vénéré maître et mettre un terme à cette futile conversation.
– Comme tu l’entends, le salua l’être divin, et souviens-toi : pas de destructions ou de mauvais coups de toute sorte !
Dabra maugréa alors qu’ils se séparaient au-dessus de l’arène qu’ils venaient d’atteindre, en direction de leurs zones respectives.
Survolant l’édifice, son regard démoniaque perçut un mouvement suspect derrière le bâtiment, et se il dirigea à l’endroit dont il l’avait aperçu. Survolant la zone, il scruta le sol de ses yeux affûtés, ne trouvant rien d’étrange. Il se dit en lui-même qu’il devait être fatigué, et qu’il ferait mieux de rentrer sans en parler à son maître qui le sanctionnerait pour déblatération d’inepties. Il s’en alla, sans se douter que dans un creux ténébreux parmi les rochers, le suivait du regard une paire d’yeux brillants, observant le démon qui s’éloignait peu à peu des appartements de l’univers 4.
Après s’être assuré que personne ne le verrait, Majin Buu de l’univers 4 émergea de sa cachette, sous forme de tête miniaturisée. Il jeta à nouveau un coup d’oeil furtif autour de lui pour être certain de ne pas être vu. Il sentait Vegetto faire des siennes dans l’arène, et il avait entendu au loin la conversation entre Dabra et le Kaiôshin du Sud. Cela confirma ses craintes: sa tâche allait être un peu plus compliquée que prévu. Prenant conscience qu’il était tranquille et que personne ne le remarquerait, il se fendit d’un large sourire :
– Et hop ! s’exclama-t-il. Jusqu’à présent, tout va bien. J’ai réussi à dissimuler ce morceau de moi le temps que le tour se termine ! Et maintenant, il est l’heure de rendre ce tournoi plus intéressant ! Voyons voir, par qui vais-je commencer…
Il se tourna vers l’appartement voisin, celui de l’univers 3, et se décida.
– Allez, on va faire le tour en partant par la gauche. Au premier de ces messieurs… susurra-t-il tout en traversant le mur de l’appartement comme un fantôme.
Il se retrouva dans le salon au centre duquel Raichi sommeillait, lévitant sur sa boule de cristal à quelques centimètres du sol. Dans la pièce annexe, porte grande ouverte, on pouvait apercevoir Tapion endormi dans son lit, son épée adossée au mur à l’entrée de sa chambre.
“Commençons par Tapion”, pensa le Djinn. “Il faudra faire attention à ne pas réveiller Raichi, il est sensible.”
Sans un bruit, il diminua de volume, de sorte à être de la taille d’une balle de tennis. Il se faufila lentement dans la chambre du compagnon de Raichi et se mit à réfléchir en arrivant à sa hauteur. Son combat allait l’opposer à Cell, et d’après ce qu’il savait de ce dernier, il était quasiment certain que le combattant de l’univers 17 l’emporterait sans trop de difficultés, d’autant plus s’il décidait d’achever son adversaire directement. Il lui fallait donc faire en sorte que Cell soit forcé de s’en prendre au monstre uniquement, et pourquoi pas en profiter pour renforcer quelque peu la créature géante.
“Allez, on va faire ceci”, se dit-il en posant délicatement le bout de sa crête sur le front de Tapion. “Voici une méthode pour mieux employer ton monstre. Protégé de la sorte, tu seras invulnérable. Voilà qui devrait constituer un spectacle assez captivant !”
Ayant achevé le transfert de l’information, il se glissa à côté de Raichi, surveillant attentivement ses réactions. Il aurait pu scruter son esprit pour être certain qu’il ne se réveille pas, mais il craignait que l’effet inverse se produise. Étant imprévisible, le scientifique pouvait bien être doté de défenses mentales. Pour lui, l’aide appropriée était toute désignée : Buu réitéra son geste et colla sa crête contre la boule cristalline, rechargeant tous les fantômes utilisés lors du dernier tour.
“Voilà”, sourit Buu. “Vu ton adversaire, il serait regrettable que tu ne puisses utiliser la totalité de ton armée, tu en auras bien besoin. Inutile de rajouter un surplus de puissance, tu sauras donner un combat intéressant.”
Satisfait, il quitta la pièce. Continuant son chemin, il traversa les espaces 2, 1, 20 et 19 sans encombre, ces univers n’ayant plus de combattants qualifiés. Il jeta un dernier regard, dont on pouvait déceler une pointe de regret en direction de l’espace 20. Absorber Broly aurait pu être une opportunité réellement appréciable.. Mais en y repensant, la personnalité tempétueuse du Saiyan Légendaire aurait pu provoquer le chaos dans son esprit. Secouant la tête, attentif à Piccolo qui se trouvait en lévitation à l’entrée du couloir de l’espace 18, ainsi qu’à Vegetto qu’il faillit croiser alors qu’il se téléportait à une vitesse folle, il pénétra dans l’appartement 18, et s’arrêta brusquement avant d’entrer dans la pièce principale.
“Il va falloir la jouer discret ici, y’a du monde là-dedans. Enfin, le seul qui aurait pu me repérer est Piccolo, et il se trouve à l’extérieur. Soyons attentifs.”
Il savait déjà par qui commencer. Il se glissa avec lenteur vers la chambre de ses anciens ennemis, les fils de Gokû et Vegeta. Il se souvenait avec une certaine nostalgie de ces affrontements légendaires qu’il avait vécu avec les Saiyans il y a deux décennies, alors qu’il n’était qu’un Djinn dépourvu d’intelligence. À l’époque, il était déjà l’être le plus puissant de l’univers, mais tous les combats qu’il avait livré contre Gokû, Gotenks, Gohan et Vegetto lui avaient permis d’atteindre un niveau d’existence qui transcendait de loin n’importe laquelle toutes les autres. Grâce à eux, il était devenu un véritable être divin, obligé de se surpasser et d’évoluer, seul contre de formidables adversaires tous plus puissants les uns que les autres. Désormais, ils se trouvaient tous en lui constituant une part importante de ce qu’il était. Sans pour autant vouloir l’admettre, il était fou de joie à l’idée de les retrouver. Il voulait revivre les sensations qu’il avait connu à cette époque sur Terre, et ne permettrait aucune déception.
“Son Gokû, Vegeta, vous n’aimeriez pas qu’on vous aide”, pensa-t-il en passant devant leurs chambres.
Il se doutait qu’ils s’étaient incroyablement améliorés depuis leur combat contre son alter-ego dans leur univers, et ressentait surtout cela en Vegeta qui cachait quelque chose. Il le découvrirait dans les combats à venir avec enthousiasme. Arrivé devant la porte derrière laquelle les jeunes guerriers dormaient paisiblement, il la traversa et se plaça entre leurs deux lits, dédoublant sa crête pour la poser sur leurs têtes.
“Quant à vous, les mi-Gotenks, il vous faut absolument un power-up contre moi ! Il n’est pas question que le combat ne dure qu’une minute si vous utilisez toute votre puissance contre moi ! Alors je vous livre tous les secrets que j’ai découvert sur la fusion durant mon exploration à travers les galaxies. Avec ça, vous ne devriez plus avoir de problème de durée et de puissance, vous pourrez y aller à fond sans souci.”
Malgré son espoir d’une confrontation grandiose, Buu était sceptique. En effet, malgré son incroyable puissance, le comportement du Saiyan fusionné laissait à désirer. Il pourrait gâcher ce moment tant attendu. Il se souvenait de l’insolence du jeune Gotenks, des petits qui le composaient, et il s’était rendu compte qu’ils n’avaient pas vraiment mûri depuis. Il s’attendait au meilleur comme au pire. Il poussa un soupir silencieux.
“À mon héritier, maintenant !”, se dit-il intérieurement.
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